20 ANS d’ECART… Et plus si affinités

Voici le premier article de ce blog qui va parler cinéma. Il est écrit d’un trait et la correction ne sera que pour les fautes d’orthographe et de grammaire (l’erreur étant humaine et la persévérance en ce sens devenant diabolique !!! vade retro ! vade mecum ! … c’est bon j’arrête).

J’hésitais et/ou paressais à commenter les films que je regardais de temps à autre… la flemme d’écrire ce qui me passe par la tête et la peur que ça n’intéresse personne, mais bon… je m’y lance.

A chaque fois que je mets des parenthèses, il faudra les interpréter comme un sous-entendu, et les points de suspensions (point de freins non plus… (blague mécanique)) comme le « laissez libre court à votre imagination » ou mettez ce qui vous passe par la tête là-bas, ça fera du blogging associatif. Bref voilà…

J’ai recommencé par voir des films depuis quelques jours. Suffisamment empêtré dans le cycle infernal des séries américaines au suspense vendu et revendu par des scénaristes qui ont tout prévu pour me faire cliquer sur l’épisode suivant jusqu’à ce que je finisse la saison… j’ai raté quelques films et étant passé de l’étape de chômeur à celui du gars au CDD (emploi non sécurisant mais hyper prenant en temps libre), je vieillis sans regarder des films et me faire plaisir sans me gratter les couilles devant l’écran… faire plaisir à mes yeux et à mes sens émotifs (oh putain, le chassis du derrière, elle s’asseoit sur son gagne pain la nana !!!… non, ça c’est le commentaire pour les films adultes qu’on regardait adolescent… pour mieux s’y prendre quand on deviendra adulte, ahaha). Aujourd’hui, vous pouvez aller sur youporn et surtout ne pas oublier de supprimer l’historique de votre navigateur… une question d’image !

Donc tout le verbiage égocentrique et nombriliste (Psychanalysez moiiiiiiiiiiiiiiii…) pour en venir au film dont j’ai mis le titre en titre de cet article : 20 ans d’Ecart.

Allez, réflexion vite faite, on s’imagine qu’il s’agit d’une affaire d’écart d’âge entre des personnes. Pour être précis, nous disons deux personnes de sexes complètement opposés (même si l’homosexualité est si tendance, il existe encore des gens qui pensent qu’il faut brancher une prise mâle dans un port femelle, hein…).

Mieux encore, la beauté du genre cinématographique (je raconte des conneries, je m’y connais pas en genre ciné) est que le film déroule ses bandes sur une histoire d’amour entre une femme d’âge mûr (on va dire 38 ans) et un jeune garçon qui est à l’université (18 ans). 38 – 28 = 20 ; d’où le titre d’écart, vous avez compris, on ne peut rien vous cacher.

20 ans d'écart

Rencontre fortuite dans un avion… et le scénariste se mettant à la place de Dieu fait ce qu’il veut du couple pour qu’ils se rencontrent et se rencontrent encore, jusqu’à ce que baisers s’en suivent. Baisers, embrassades, morves, salives, baiser aussi (enfin, l’autre baiser, désolé pour le brut de décoffrage, disons qu’ils l’ont fait qu’une seule fois dans le film ; et peut-être plus de fois dans le scénar, mais ça on le saura jamais). Check this out baby !!!

Le sujet ou la thématique est importante puisqu’elle suscite un débat permanent dans la société du 3ème millénaire :

–          Un mec vieux se tape une fille de 18 ans : Scandale, à la limite de la pédophilie, c’est sûrement un catholique, un prêtre de l’église romaine se cache en lui, de la viande de curé va être retrouvé dans la viande d’enfant, quelle horreur, fouettez moi au centuple car l’envie de me faire des enfants devient de plus en plus fort. (faire des enfants et se faire des enfants… la forme pronominale qui sépare si bien le bien du mal) enfin bref…

–          Une nana de 40 ans se tape un mec de 20 ans, woaaaaaaaaaaaw, le pied ! attends ! c’est la MILF Mother I like to Fuck ! man !, where the fuck did you got it, peace and love mon frère, Dieu est amour, Dieu a mis une femme qui a l’âge de ta maman sur ta route pour te montrer la voie vers le nirvana, vas-y continue !

Voilà! c’est de ça qu’il s’agit dans « 20 ANS d’ECART ». enfin, tous les sous-thèmes affiliés ou inhérents y passent : les femmes célibataires (ça n’aurait pas dû être un sous-thème en principe mais le scénariste étant limité par le temps et la production mal financée s’est résigné à sous-traiter  cette partie du scénar), la femme célibataire avec un enfant presque ado (je veux dire adolescent, pas alassane dramane ouattara), et puis un peu de trahison aussi, le manipulé (c’est le garçon, il est le plus jeune dans le couple) qui fait sa gueule de déçu (« je t’aimais et tu t’es servi de moi ! »). En même temps on s’y attend un peu non ? sinon à quoi ça aurait servi de faire un film (ou de faire tout ce cinéma hein).

20_ans_d_ecart photo

Sinon, euuuuh… j’aime j’aime pas ? bah, j’aime bien. Il y a un happy end alors que tout le monde sait que ça finit toujours mal ce genre d’histoire, une fois qu’ils se sont vus, re-vus, re-revus… jusqu’à, re(revu+1)n fois (voir cours de math, algèbre, les suites numériques, merci).

C’est toujours bon à prendre, surtout quand le film finit sur du frank sinatra (ou tout autre personne chantant comme le chanteur préféré des mafiosi macaroni peperoni du bronx cosa nostra).

A voir si vous cherchez à vous mêler des histoires de ces couples ou le mec a 20 ans de moins que la nana.

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Prochainement, on tournera 2000 ans d’écart avec à peu près les mêmes acteurs, nous dit-on…

2000-ans-d-ecart

ahaha, je m’fous de votre gueule.

 

si ça vous intéresse, profitez aussi de la bonne critique dans On n’est pas couché de chez RUQUIER… vous comprendrez peut-être pourquoi ça a du bon!!!

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